Depuis 1992, Biologie Sans Frontières n’a cessé de mettre en oeuvre ses compétences de biologie médicale au service d’un système de santé plus juste et accessible à tous.
Pour fêter ses 25 ans d’existence, Biologie Sans Frontières vous convie à Sa journée événement le 8 Juin 2018 prochain, à la Faculté Catholique de Lyon. La manifestation se présentera sous forme de conférences plénières sur le thème : « Les challenges de la biologie médicale dans les PED au XXIe siècle » et se poursuivra avec un buffet dînatoire.
Je vous ai transmis plusieurs
messages (23/02/2020 et 10/03/2020, site Facebook et Internet) sur
l’impossibilité d’enrayer cette pandémie à court terme. A travers ces messages,
je voulais garder une note optimiste sur l’évolution de la situation…
(Limitation de l’épidémie en saison printanière, citoyenneté de chacun, etc…)
mais l’évolution est plus grave et rapide que prévue…
Concernant l’évolution de cette
épidémie, nous entendons tout et son contraire : par exemple, certains
politiques ont annoncé que 50% de la
population serait atteint avant l’été : cette situation serait
dramatique car si c’était le cas, cela correspondrait à un nombre de décès exorbitant de 500 000 en
France (1-2% des cas). Je vous rassure, cette modélisation est
aberrante et ne serait possible qui si aucune action de confinement n’était
lancée …
Alors qu’est ce qui nous attend réellement ? Personne ne le sait
précisément car l’évolution de cette épidémie et sa mortalité dépendra de nombreux
facteurs :
De notre
capacité à nous confiner efficacement
De nos actions citoyennes et à l’opposé notre
individualisme qu’on paiera au prix fort
De notre capacité de soins (à saturation
actuellement)
De notre capacité de diagnostic (à saturation
actuellement)
Et peut-être à
plus long terme :
Du retour des chaleurs ?
De nouveaux traitements limitant la mortalité ?
De la capacité du virus à s’adapter et à
évoluer ?…
Alors que devons-nous faire et quelles sont les actions qui ont fait
preuve d’efficacité ?
La Chine a proposé un confinement extrême,
difficilement applicable chez nous !
Le Japon et la Corée ont fait preuve de
discipline et citoyenneté exemplaire ; de plus ces nations ont la culture
de la catastrophe (tsunami, séisme et épidémie). Elles ont été capables de
proposer un diagnostic systématique (>300 000 diagnostics en 3 semaines
pour la Corée), voici le modèle à suivre
(courbes violettes, figure jointe).
Par contre, soyons réaliste, nous
ne serons pas aussi efficaces et rapides que nos amis asiatiques pour casser la
courbe épidémique (exemple de la Corée qui restera à moins de 10 000 cas).
Pour la France, la modélisation la plus optimiste correspondrait à 50 000
cas et un nombre de décès inférieur à 2000 décès et ceci avant l’été. Les
modélisations pessimistes correspondraient à un nombre multiplié par 5, par 10,
par … Regardons les tendances évolutives de chaque pays (= la pente des
courbes), celles-ci permettent d’identifier
les bons et les mauvais élèves : Actuellement nous faisons partie des
derniers de la classe !
Vous l’avez donc compris, la gravité de cette épidémie et le nombre de
décès à venir dépendront donc principalement de 2 paramètres :
1-de nos infrastructures médicales et de leurs capacités d’accueil et
diagnostic,
2-et surtout de notre réactivité à répondre efficacement, totalement
et collectivement (67 millions de
français sans exception) au confinement le plus strict …
Civiquement et
humanitairement,
Pr Pierre Flori,
Président de BSF.
Toutes ces données ont été récupérées à partir des rapports quotidiens de
l’OMS
Je voulais
faire suite à mon dernier message du 23/02/2020 sur l’évolution de
cette « pandémie » causée par ce virus. Je devance
l’OMS sur l’utilisation de ce terme « pandémie », j’espère que cela
ne choquera personne.
En continuant à
suivre jour après jour, les données OMS, nous nous rendons compte que le nombre
de cas mondiaux (hors Chine) explose. Comme le spécifient nos responsables
politiques et les experts scientifiques, le virus circule en France et dans le
monde. Pour rappel, à la date du 29/01/2020, il y avait à l’extérieur de la
Chine en moyenne, 10 nouveaux cas/jour, à la date du 18/02/2020, 100 nouveaux
cas/jour, à la date du 01/03/2020, 1000 nouveaux cas/jours, au dernier bulletin
de l’OMS (08/03/2020) plus de 3600 nouveaux cas/jour… « 3000-4000 cas
par jour, ceci correspond au pic chinois de 05/02/2020 (maximum à
3900 cas) : le monde entier a donc 1 mois de « retard » sur
l’évolution de l’épidémie en Chine !
Alors faut-il
penser que, dans 30 jours, nous aurons, comme la Chine, passé le pic et serons
sur la courbe descendante ? Sur ce point mon avis est négatif, ceci est
totalement impensable (sauf si le mois de mars est estival, voir
ci-dessous) ; je n’y crois donc pas, pas plus que des spécialistes
épidémiologistes sur ce sujet. Soyons réalistes, aucun pays démocratique (et
surtout pas la France:-)) ne pourra proposer
une quarantaine aussi stricte (= situation chinoise), et
second point, je ne crois pas, non plus à l’exhaustivité des chiffres chinois.
De plus et « si tout était comparable », notre épidémiologie
nationale serait retardée de 10-12 jours par rapport à la Corée ou l’Italie
(7500 et 7000 cas aujourd’hui), rien de rassurant sur ces chiffres qui
correspondent à ce qui nous attend.
Alors pourquoi,
annoncer une note d’optimisme ?
La raison est
simple : quand on compare l’évolution des chiffres (nombre total des cas)
en Malaisie, Singapour, Australie, Thaïlande, Vietnam, pays chauds car
intertropicaux (T° nocturne actuelle entre 18 et 30°C) à ceux de pays froids
car tempérés en saison hivernale (T° nocturne actuelle entre -5 et 10°C),
Corée, Japon, Allemagne, USA et France + Italie et Iran),
l’évolution est largement différente. Voici ce que cela donne sur une figure :
Bien sûr, ces pays sont de différents continents, sont de culture
et d’Indice de Développement Humain (IDH) différents, sont de densité de
population très variable…
Pour
information, pourquoi avoir choisi ces pays : ce sont les 10
premiers pays (hors Chine) à avoir signalé plus de 10 cas (en date du
09/02/2020) sur leur territoire, cas d’importation pour la plupart. J’y ai
ajouté l’Italie (du nord) et l’Iran qui ont subi des premiers cas plus tardifs
car ils sont les 3ème et 4ème pays en termes de
nombre de cas aujourd’hui. Ces 2 derniers présentent eux aussi un
hiver froid (Températures similaires à la France). A cette figure, viennent
s’ajouter de nombreuses données épidémiologiques internationales :
– les pays chauds comme les pays africains (certes en incapacité de diagnostiquer de manière fiable) ont très peu de cas, l’Amérique du Sud (certes éloignée de la Chine avec très peu de cas), mais aussi et surtout l’Inde et l’Indonésie ont très peu de cas …
– et les pays froids comme les pays d’Europe du Nord et plus particulièrement les pays scandinaves (beaucoup moins peuplés que la France et l’Allemagne) sont aussi lourdement touchés …
En quoi, cela
serait rassurant pour nous : l’analyse rapide de ces chiffres serait la
suivante : ce virus n’aime pas la chaleur ; certes il circule en pays
chauds (de passage) mais il ne se propage pas aussi aisément (R0 probablement
largement inférieur) par rapport aux pays froids. La température optimale de ce
virus serait 8°C.
Cela veut dire
que l’on peut espérer une accalmie avec les premières chaleurs, espérons un
printemps précoce et chaud !
Une accalmie,
ne veut pas dire arrêt mais sa propagation serait, je l’espère, plus faible.
Aujourd’hui,cet espoir est le seul signal positif sur lequel on
peut s’accrocher. En y associant, les gestes de bons sens et de
civisme (limiter ces voyages au minimum, limiter les contacts et rassemblements
humains, suivre les conseils d’hygiène, de protection, d’isolement,
l’utilisation de SHA etc…), j’espère que l’on pourra gagner du temps
jusqu’aux premières chaleurs pour que nos anciens puissent nous
remercier de n’avoir pas été un maillon transmetteur de cette pandémie.
Concernant nos interventions BSF dans les pays sud (et chauds), ma position de repousser un maximum d’interventions de quelques mois reste toujours d’actualité en l’absence de données fiables dans les pays que l’on soutient. De plus et au vu de l’évolution des chiffres européens, ce sera peut-être nos hôtes qui refuseront de nous accueillir !
Civiquement et
humanitairement,
Pr Pierre Flori,
Président de BSF
Toutes ces données ont été récupérées à partir des rapports quotidiens de
l’OMS
En tant que responsable d’ONG humanitaire spécialisée dans
l’aide au développement de laboratoires de biologie médicale BIOLOGIE SANS
FRONTIERES, je me dois de me poser les questions essentielles au développement
de l’épidémie de Coronavirus (SARS-CoV-2). Cette maladie virale (COVID-19)
touche aujourd’hui plus d’une vingtaine de pays et a contaminé pratiquement 100
000 personnes avec un taux de décès de 2 – 2,5% en Chine.
En suivant jour après jour, les données OMS, nous nous rendons
compte que le nombre de cas chinois ne s’emballe pas : il augmente chaque jour
(ou à chaque bulletin OMS) d’environ 1 %. De plus, depuis plus de 10 jours, le
nombre de pays touchés semble stable (26 actuellement). Ces données semblent
donc rassurantes …
Et pourtant, le nombre de cas internationaux s’envole avec une
augmentation 10 fois supérieure proportionnellement, certes liée à un effectif
plus réduit. Plus inquiétant, de nouveaux cas, hors de Chine, n’ont pas permis
d’identifier avec certitude le cas index ou cas 0 (Italie, Corée, …). Et
encore plus inquiétant (surtout quand on connait l’intensité des liens
commerciaux entre la Chine et le continent africain), aucun cas n’a été
identifié en Afrique subsaharienne ! En expert et acteur de terrain africain,
je pense plutôt que bon nombre de pays africains n’a pas capacité et structure
sanitaire pour réaliser un diagnostic. Seuls certains pays africains
bénéficient de centres de référence (1 par pays !) probablement embolisés par
des demandes irrationnelles liées à l’amplification médiatique.
Je suis donc particulièrement inquiet et pense que la pandémie
n’a aucune chance d’être évitée (avis personnel). Je suis encore plus inquiet
quand on sait que ce virus est nouveau et qu’il n’existe donc aucune personne
préalablement immunisée : il peut donc toucher « tout le monde » !
Il faut cependant éviter tout affolement ou réactions irrationnelles,
ce virus ne serait pas plus dangereux que la grippe : qui aujourd’hui s’affole
et ferme des écoles ou lieux publiques quand la grippe arrive ? Qui arrête de
voyager ou porte un masque en hiver dès les premiers cas de grippe ? Qui
refusera d’accueillir son voisin ayant été au chevet de son enfant et/ou d’un
grand-père grippé ? Quel hôpital accueille les patients grippés en chambre
hypo-barre et en niveau de protection P3 ? Tout cela est simplement
irréalisable pour la grippe !
Pas d’affolement ne veut pas dire « ne rien faire » en terme de
prévention et limitation de sa propagation. Sur ce point il est important que
les hyper-spécialistes (épidémiologistes et virologues qui étudient ce virus)
nous précisent au plus vite comment ce virus se transmet et comment limiter sa
propagation de la manière la plus efficace et réaliste possible (exemple pour
la grippe : l’utilisation de soluté hydro-alcoolique au niveau des soins est
cruciale et bien plus qu’un masque !). Comment préparer et préserver le corps
médical irremplaçable dans ce combat ?
Agir, c’est aussi ne pas être acteur de sa propagation qui est
intimement liée AUJOURD’HUI aux échanges humains internationaux. BSF participe
chaque année à plus d’une vingtaine de missions internationales (bilan carbone
certes négatif mais bilan humanitaire hautement rentable, je vous le garantis).
En conscience, chaque membre de BSF devra s’il le peut reporter sa mission sur
le continent asiatique et/ou épidémique et/ou en PED, ceci est un conseil
citoyen : c’est ce que je propose POUR TOUTES NOS ACTIONS de BSF si cela est
possible, je signerai les ordres de mission en conséquence.
Si je fais cette proposition de différer (mais de ne pas annuler
nos interventions), c’est parce que « limiter sa propagation » pourra peut-être
avoir un impact bénéfique et sauver des vies en l’attente de vaccin ou
traitement spécifique : j’espère aussi que ce virus ne saura pas s’adapter et
traverser les saisons et les climats (virus saisonnier qui deviendra moins
contagieux ou virus qui comme le SRAS disparaitra ?). L’avenir nous le dira…
Dernière note d’optimisme !
Un double défi sportif et caritatif : Le 28 juin 2020 à
Lyon, vous pouvez courir (ou marcher) pour une cause qui vous tient à cœur.
La course : 3 circuits sont possibles : 2, 6 ou 10km. Au cours de cette journée, vous pourrez profiter de l’ambiance conviviale avec 12 000 autres participants :
8h30 – 9h30 : Accueil et animations
9h30-11h30 : Entraînement collectif et course/marche
11h30-12h : Trophée des héros et distinction du meilleur collecteur
12h-14h : Restauration et animations
La collecte : L’objectif pour chaque participant est de collecter un minimum de 250€ auprès de son entourage pour pouvoir participer à l’événement.
La
collecte, comment ça marche ?
Pour s’inscrire, chaque participant doit d’abord choisir une
cause à soutenir parmi les 300 associations inscrites à cet événement.
Ensuite, chaque inscrit dispose d’une page de collecte gérée
par la plateforme « Alvarum » lui permettant de promouvoir la
collecte auprès de ses proches et d’atteindre les 250 € minimum requis pour
participer. La collecte de dons se fait exclusivement en ligne par carte
bancaire.
Chaque donateur bénéficiera d’un reçu fiscal après son don !
Le 15 Mars dernier, Biologie Sans Frontières s’est vu récompensée par les Trophées des Associations 2018 de trois prix : le prix 20 000 Volts, le prix Régional, et le prix du Public, pour son projet de « Mise en place d’un laboratoire de biologie médicale au Tchad« . [Plus d’informations sur le projet]
La mise en place de ce laboratoire était urgent pour les 40 000 habitants issus du village de Ku Jéricho et de la zone péri-urbaine de Moundou. Un état des lieux de la région montre en effet que malgré un taux de prévalence du VIH/sida de 10%, seulement 6 à 7% de la population est dépistée et prise en charge. De plus, la prévalence de la tuberculose s’élève à 6,4% chez les enfants de 0 à 14 ans, et le paludisme touche 25% des enfants de moins de 5 ans. Pourtant, seuls 14% d’entre eux bénéficient d’examens biologiques ! A cela s’ajoutent les infections respiratoires aiguës, les anémies et diarrhées qui sont rarement diagnostiquées et donc très peu prises en charge.
Ainsi, les deux subventions de 20 000€ (prix 20 000 Volts) et de 5 000€ (prix Régional) accordés par la Fondation EDF arrivent à point nommé pour permettre le développement du laboratoire de biologie à Ku Jericho.
Ce financement servira en particulier à :
la mise en place du diagnostic biologique de la tuberculose, en étroit partenariat avec les structures sanitaires gouvernementales. La détection des BK se fera ainsi à l’auramine sur les microscopes à fluorecence « Primo Star », technique largement soutenue par le Programme National de Lutte contre la Tuberculose (PNLT) au Tchad.
la mise en place de la biochimie grâce à l’acquisition d’un spectrophotomètre neuf « Kenza Max »
l’automatisation des hémogrammes grâce à l’acquisition d’un automate à NFS neuf « Micros 60 ABX »
la formation de deux techniciens sur les techniques d’analyses à réaliser en hématologie, biochimie, parasitologie et sérologie
le renforcement des compétences du personnel à la bonne gestion du laboratoire
La Fondation EDF a également décerné la première place à BSF dans le cadre du Trophée du Public, organisé lors du 11 janvier au 11 février dernier. Nous remercions alors tous les votants qui nous ont permis de remporter ce prix, grâce auquel BSF pourra bénéficier d’un accompagnement personnalisé de la Fondation EDF. Il pourra notamment se traduire par un accompagnement pro bono, une mise a disposition de mécénat de compétences ou l’invitation à participer à de grands salons.
Le gain de ces trois prix marque ainsi le début d’un partenariat prometteur entre BSF et la Fondation EDF et est gage de succès pour la bonne réalisation du projet de création du laboratoire de biologie à Ku Jericho au Tchad.
Dernier projet de BSF en date… l’édition d’une série de posters pédagogiques de parasitologie!
A l’initiative du Président de l’association, le Pr Pierre Flori, c’est une équipe de scientifiques qui a permis la réalisation de ces posters. A l’œuvre : le Dr Oussama Babba, interne en parasitologie, et les biologistes Pr Hamouda Babba et Dr Philippe Poirrier.
Afin de se perfectionner dans la mission de « Transfert de Compétences » qui est la sienne, BSF a choisi de mettre ce poster à disposition des laboratoires du Sud avec qui elle est partenaire. En effet, « Développer pour ne plus assister » passe d’abord par la formation d’experts locaux, mais également par la capitalisation des compétences acquises.
Les images qui le composent relèvent de l’entière propriété de BSF, et la finesse de leur résolution lui confère un véritable atout didactique.
Coprologie parasitaire : les protozoaires
Après plusieurs jours de travail, c’est donc le premier poster d’une longue série que l’équipe de BSF est heureuse de vous présenter : « Coprologie parasitaire : Les protozoaires ».
En passant des Microsporidies aux kistes de Giardia intestinalis, de nombreux parasites y sont représentés :
Blastocystis hominis
Dientamoeba fragilis
Entamoeba histolytica (E.h) /E. dispar (E.d)
Entamoeba coli
Endolimax nanus
Cryptosporidies
Isospora belli (= Cystoisospora belli)
Cyclospora cayetanensis
Coprologie parasitaire : les helminthes
Le deuxième poster pédagogique de BSF se concentre sur les helminthes. Onze espèces différentes y sont représentées :
Enterobius vermicularis
Ascaris lumbricoides
Ancylostoma duodenale / Necator Americanus
Trichuris trichiura
Strongyloides stercolaris
Tenia spp
Fasciola hepatica
Hymenolepis nana
Hymenolepis diminuta
Schistosoma mansoni
Schistosoma haematobium
Ces deux posters sont en vente au prix de 10€ l’unité, et 15€ les deux. Si vous aussi vous souhaitez obtenir ce poster et si vous souhaitez par la même occasion soutenir notre association, il est tout à fait possible de le commander. L’intégralité de la somme sera alors reversée au profit des projets de BSF.
Ces posters sont gratuits pour tous les adhérents de notre association.
Pour en faire la commande ou obtenir davantage d’informations, n’hésitez pas à envoyer un mail à courrier@bsf.asso.fr. Nous vous enverrons le nombre de poster souhaité directement par voie postale.
D’autres posters de BSF seront à paraître, parmi lesquels se trouveront notamment un deuxième poster de parasitologie sur les œufs, un poster sur l’hématologie, la biochimie, etc…